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Comme le jeune Nicolo, joueur de dés du XIIe siècle, ou le reporter photographe d’aujourd’hui, on entre de plain-pied, avec Nouvelles vénitiennes, dans la Sérénissime. |
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A sept moments différents de son histoire, chaque personnage mis en scène ici a bel et bien existé, sauf le héros contemporain de Mondo novo, ce qui reste encore à prouver. |
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Qu’ils soient artistes (Le Verrocchio, Lorenzo Lotto), libertins (Veronica Franco, poétesse et prostituée) ou philosophes (Elena Cornaro, première femme au monde à avoir obtenu un doctorat), tous entretiennent un rapport particulier, d’amour ou de haine, avec Venise. |
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Au-delà d’époques et de situations différentes, se noue un lien d’un personnage à l’autre ; celui de l’art et de sa douleur, de la solitude dans ce labyrinthe utopique et féroce, image même de la création. |
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Serge Safran éditeur |
192 pages |
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Prix : 16 € |
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Monuments, tableaux, poèmes, souvenirs tissent un subtil fil conducteur à travers ces sept nouvelles, pour ne constituer à la fin qu’une seule histoire, celle de Venise. |
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Nouvelles vénitiennes est une réussite littéraire incontestable, aussi bien pour ceux qui ont encore à découvrir la Sérénissime que pour tous ceux qui croient la connaître. |
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La presse en parle...
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L'auteur |
Dominique Paravel |
Née à Lyon, elle s’installe à Venise en 1983.
Pendant vingt ans, elle y enseigne et publie poèmes, articles scientifiques et même une grammaire comparée du français et de l’italien, tout en menant une activité de traductrice. En 1997, elle fait paraître un guide de Venise (Autrement) et crée une association culturelle, Arte e Venezia, qui organise des séjours dans la Sérénissime.
Nouvelles vénitiennes est son premier livre de fiction.
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